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#Année chinoise sous le signe du Tigre
actu24hp · 2 years
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Astrologie chinoise : à quoi faut-il s’attendre pour l’année du Lapin d’Eau ?
Ce 22 janvier, c’est le Nouvel an chinois. Ce jour marque le début d’une nouvelle année lunaire qui s’achèvera le 9 février 2024. Alors que 2022 était sous le signe du Tigre d’Eau, 2023 sera sous l’influence du Lapin d’Eau. Voici ce à quoi il faut s’attendre avec une telle combinaison. «On va pouvoir souffler un peu». Selon l’astrologie chinoise, 2023 sera sous l’influence du Lapin d’Eau. Alors…
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lesjumelles · 3 years
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Xin nian kuai le
Xin nian kuai le
Xin nian kuai le   Bonne année 2022 chinoise ! Nous sommes passés le 31 janvier sous le signe du Tigre. Plus exactement sous l‘année du TIGRE D’EAU (année 4720). Pour rappel, l’année dernière était celle du Buffle de Métal et en 2023, nous laisserons la place au Lièvre d’Eau, le 21 janvier. Le Nouvel An lunaire ou Nouvel An Chinois 农历新年 (Nongli Xinnian) aussi appelé Fête du Printemps 春节(Chunjie)…
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fidjiefidjie · 3 years
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Nouvel An Chinois 🎆 🇨🇳
"L’année 2022 est placée sous le signe du tigre 🐯 d’eau. Dans l’astrologie chinoise, cela signifie une année placée sous le signe de la conscience de soi, du respect et des nouveaux horizons."
Source: Paris Normandie
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nedsecondline · 3 years
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Xin nian kuai le — Le journal des Jum's
Xin nian kuai le — Le journal des Jum’s
Xin nian kuai le   Bonne année 2022 chinoise ! Nous sommes passés le 31 janvier sous le signe du Tigre. Plus exactement sous l‘ 1,206 more wordsXin nian kuai le — Le journal des Jum’s
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leproton · 3 years
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2022--Bonne Année du Tigre--
2022–Bonne Année du Tigre–
La nouvelle année chinoise placée sous le signe du Tigre d’Eau, porteur de renouveau. Au programme : énergie, harmonie et créativité. The Chinese New Year placed under the sign of the Water Tiger, bearer of renewal. On the program: energy, harmony and creativity.
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Acheter le cadeau de nouvelle année Chopard L.U.C Triple certification Tourbillon montre 8-carat en ligne
Peut-être que pour la plupart d’entre nous, le mot réplique peut être un désactiver, mais pas personnellement. J’ai l’exemple le plus efficace que l’acquisition d’une montre de réplique est souvent aussi gratifiant que l’obtention du premier juste que vous n’avez pas à blesser votre argent pour l’acheter. Prenez cette réplique Chopard LUC Triple certification Tourbillon montre 8 carats, par exemple, il m’a redonné environ 200 dollars et en plus il a l’air incroyable. Non seulement cela, mais je suis très impressionné par son design authentique, la représentation parfaite à l’intérieur des marques et logos authentiques, les tailles et le poids exact. C’est une acquisition formidable dont j’ai besoin pour être utile. 
Maintenant, introduisons une autre montre,réplique Chopard LUC triple certification Tourbillon montre 8 carats ressemble à elle, à propos de Chopard LUC Perpetual T: Esprit à l’intérieur de la montre du zodiaque chinois, la collection LUC de Chopard accueille les montres artisanales les plus haut de gamme de l’entreprise, combinées avec le LUC Perpétuel T: L’esprit à l’intérieur du zodiaque chinois suit cette tradition. Le point culminant à l’intérieur de la montre devrait être le problème. Il offre un boîtier en or rose 18 carats de 43 mm d’épaisseur et d’environ 15 mm d’épaisseur, combiné à l’ensemble du scénario gravé à la main lors de l’utilisation des 12 signes du zodiaque chinois en utilisant la technique champlev¨. Cela signifie que les situations sont d’abord gravées à la main puis remplies de matériel. À l’intérieur du boîtier du Chopard L.U.C Perpetual T: Spirit à l’intérieur de la montre du zodiaque chinois, les boîtes sont d’abord gravées puis remplies de patine noire pour créer des images à l’intérieur du zodiaque chinois. 
Les 12 créatures à l’intérieur du zodiaque sont gravées chronologiquement sur le milieu du boîtier lorsque vous utilisez le rat placé dans le coin supérieur droit à l’intérieur de la montre. Quelques faits saillants à noter sera le tigre, qui est placé sur la couronne combinée avec le dragon et le serpent, qui sont entrelacés en ce qui concerne les cornes inférieures à l’intérieur de l’affaire. La lunette est gravée à la main lors de l’utilisation de la technique champlev¨, obtenant ainsi un design qui appelle dans vos idées les grilles sur les anciennes portes chinoises. Le cadran comprend également de l’or massif 18 carats. Comme la situation, il est gravé à la main en acquérant un motif en treillis qui ressemble à des individus dans la lunette. Le Chopard L.U.C Perpetual T: Esprit à l’intérieur du zodiaque chinois est imperméable à l’eau contre 30m et possède un bracelet en alligator fait à la main noir plus une boucle à ardillon en or rose 18 carats assortie.
Le L.U.C Perpetual T: Spirit à l’intérieur du zodiaque chinois comporte de nombreuses complications. Sur le cadran à 12 heures est un grand affichage de la date. Énumérées ici sont les indications du calendrier perpétuel. À 3 heures, nous avons les indicateurs du mois et de l’année bissextile, à 9 heures nous avons tous les jours et les indicateurs de 24 heures. Enfin, à 6 heures, le tourbillon développe une rotation toutes les minutes. Cela peut être garanti depuis le sous-cadran des secondes importantes.
Heureusement, à l’intérieur de notre boutique en ligne, nous offrons beaucoup de répliques de haute qualité, elles sont créées par de jolis matériaux, mais elles ne sont pas étanches.A côté de la réplique certification Chopard LUC Triple Tourbillon montre 8 carats, en plus, il y a beaucoup de montres fascinantes , filtration cliquez sur le lien pour le visiter.
Il est imprimé par  https://regardezlecentrecommercial.wordpress.com/2017/12/28/acheter-le-cadeau-de-nouvelle-annee-chopard-l-u-c-triple-certification-tourbillon-montre-8-carat-en-ligne/
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utopiedujour · 7 years
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La Corée du Nord veut tirer quatre missiles près de Guam – Un pari risqué, par Alexis Toulet
Billet invité. Également sur son propre blog.
L’escalade verbale entre Donald Trump et Kim Jong Un vient d’aboutir à un nouveau palier. La Corée du Nord a annoncé le 10 août préparer à partir de la mi-août un essai de missiles particulièrement provocant, avec le tir de quatre missiles balistiques à portée intermédiaire Hwasong-12 juste à côté de l’île américaine de Guam dans le Pacifique ouest.
Décision surprenante et pari risqué, car c’est le système de défense antimissile américain qui est visé, et les paramètres choisis par Pyongyang pour cet essai lui sont défavorables. Le défi est en tout cas éclatant – tout se passe comme si Kim Jong Un voulait forcer l’Amérique à utiliser sa défense anti-balistique, et était persuadé de la mettre en échec. Donald Trump pourra-t-il éviter de relever ce défi ?
Pourquoi l’on parle de guerre
Suite aux essais de missiles intercontinentaux réalisés par la Corée du Nord cette année, en particulier l’essai le 4 juillet d’un missile Hwasong-14 capable de lancer une charge de 500 à 600 kg suffisante pour une ogive nucléaire à une portée de 8 000 à 10 000 km – mettant donc sous le feu au minimum les Etats américains de l’Alaska et de Hawaï ainsi que la ville de Seattle, au maximum toute la moitié ouest du pays y compris la métropole de Los Angeles – le président américain a réitéré sa politique fortement exprimée en début d’année : la Corée du Nord parvenant à mettre au point une arme nucléaire capable d’atteindre les Etats-unis « Ça n’arrivera pas !« .
Le jeu des pressions, notamment l’alourdissement des sanctions économiques, s’avérant insuffisant pour convaincre Pyongyang de renoncer à étendre sa dissuasion nucléaire au territoire américain, Donald Trump est passé aux menaces ouvertes, annonçant « feu et colère » ainsi que « une puissance que franchement le monde n’a jamais vu jusqu’ici » si le dictateur nord-coréen ne faisait que continuer ses menaces.
En réalité, il serait très délicat pour les Etats-Unis de prendre l’initiative d’une attaque sur la Corée du Nord, car elle dispose de toute une échelle de ripostes possibles :
depuis des attaques voire un barrage d’artillerie qui s’avérerait extrêmement destructeur sur Séoul la métropole sud-coréenne, laquelle est toute proche de la frontière, ou
des attaques au missile à ogive classique sur les bases américaines en Corée du Sud ou au Japon
jusqu’à l’utilisation de l’arsenal massif d’armes chimiques, estimé entre 2 500 et 5 000 tonnes, y compris l’agent militaire le plus dangereux le VX, lequel fut utilisé lors de l’assassinat par Kim Jong Un de son frère
de l’arsenal biologique, qui pourrait se prêter à des attaques de type terroriste, même sur le territoire américain
et maintenant nucléaire monté sur missile balistique, Pyongyang disposant suivant les évaluations de 20 à 60 armes d’une puissance équivalente à celle qui bombarda Hiroshima
La solution la plus raisonnable serait pour Washington d’accepter le fait de la dissuasion nord-coréenne, de même qu’il a accepté en leur temps le fait de la dissuasion soviétique puis russe et le fait de la dissuasion chinoise. Donald Trump cependant, ayant plusieurs fois exprimé l’idée déjà entretenue par Nixon qu’apparaître « fou » ou « incontrôlable » serait utile en cas de crise internationale – car permettant d’obtenir davantage de concessions de l’interlocuteur – a décidé de continuer d’appliquer cette posture. Ou cette tactique, c’est toute la question, et le jeu tel que semble le concevoir le président américain est de créer un vrai doute sur le fait qu’il pourrait réellement être « fou ». Donald Trump s’estime encore mieux qualifié que le « grand dirigeant » nord-coréen pour maintenir ce doute.
Le défi lancé par Kim Jong Un
La décision annoncée par la Corée du Nord de faire des essais de missile balistique « à 30-40 kilomètres de Guam » est évidemment suprêmement provocatrice. Légale en droit international – les missiles devant retomber hors des eaux territoriales américaines – elle est comparable à un homme armé d’un fusil lançant à un autre « Ne bouge pas… je vais tirer à dix centimètres de ta main« . Difficile d’imaginer message plus clair de Pyongyang comme quoi il ne cédera pas aux pressions américaines pour lui faire limiter, sans parler d’abandonner, sa dissuasion nucléaire.
Mais ce qui frappe avant tout, c’est que ce projet de tirs ressemble à s’y méprendre à une invitation aux Etats-Unis à réaliser un test en vraie grandeur de leurs systèmes antibalistiques. Non seulement ils pourraient parfaitement le justifier devant leur opinion comme devant les autres pays, arguant par exemple d’un risque que les missiles nord-coréens ne frappent Guam par accident, ou simplement d’un risque pour la navigation. Mais ils se trouvent encore dans les meilleures conditions techniques pour le faire : ils connaissent précisément le lieu, ont une idée de la date ou du moins de la période dans laquelle le test aura lieu, le nombre de missiles assaillants n’est pas très élevé, et c’est précisément leur système antibalistique a priori le plus fiable qui est déjà déployé sur place ! (1)
Le système de défense antimissile américain THAAD – déjà déployé sur l’île de Guam, et déjà testé contre un missile balistique de portée intermédiaire comme le Hwasong-12 nord-coréen
Il est pour le moins osé, pour ne pas dire très risqué, pour Kim Jong Un d’avoir lancé un tel défi. Car enfin le THAAD est loin d’être dénué de capacités. En service depuis 2008, il a passé avec succès les 13 tests d’interception réalisés entre 2005 et 2017 avec la version finale.
Sans doute, sa vitesse maximale de 2,8 km/s est inférieure à la vitesse finale d’un missile balistique tel que le Hwasong-12 qui en se basant sur l’estimation de sa portée doit être de l’ordre de 6 km/s, mais cela n’empêche pas une interception à partir du moment où l’ogive du missile assaillant n’est pas manœuvrante, ce qui n’est presque certainement pas le cas des missiles nord-coréens à ce stade de leur développement.
Sans doute, le THAAD n’a été testé qu’une fois contre un missile de portée intermédiaire le 11 juillet dernier, étant à l’origine prévu pour parer des missiles de portée plus courte. Cependant, ce test fut un succès.
Ce test signe une amélioration du système de défense, qui jusqu’à (ce jour) n’avait intercepté que des missiles de portée plus courte. Quoique la simulation ait été planifiée depuis des mois, elle arrive au moment d’une menace internationale croissante de la part de la Corée du Nord, qui a testé son premier missile intercontinental le 4 juillet.
Même si cet essai unique laisse la porte ouverte à quelques doutes – il faudrait plusieurs essais, dans une variété de conditions différentes, pour vraiment donner confiance dans la capacité de défense contre l’attaque simultanée de plusieurs balistiques intermédiaires – il reste bon signe s’agissant d’un système qui est par ailleurs déjà au point. Et rien n’empêcherait les batteries de défense de lancer deux intercepteurs sur chaque assaillant, afin de renforcer la probabilité de succès.
Risque majeur pour la Corée du Nord
Le risque pour Pyongyang, et il est grand, c’est que les Etats-Unis parviennent à intercepter les quatre missiles. Ce serait pour la dissuasion nord-coréenne un revers très grave et en fait réellement dangereux, avec l’impression que la Corée du Nord est en fait impuissante, ses meilleures armes incapables de percer le bouclier antimissile américain.
Même si elle conserverait en tout état de cause sa capacité à frapper Séoul par barrage d’artillerie, tout comme sa capacité à saturer les défenses antimissile américaines et japonaises sous le nombre des missiles à courte portée, Washington pourrait en conclure que ce n’est en tout état de cause pas son territoire qui est sous le feu, du moins pour l’instant, et le calcul cynique et halluciné « mieux vaut les Coréens voire les Japonais aujourd’hui que nous demain » pourrait-il pousser Trump et son entourage à déclencher une guerre pour empêcher Pyongyang de mettre en service le missile intercontinental qu’il a testé le 4 juillet, acceptant les énormes pertes civiles du fait que ce seraient des alliés qui les subiraient plutôt que les Américains eux-mêmes ?
Certes, si Washington ne réussit pas à intercepter plus d’un ou au maximum deux missiles, ou s’il n’essaie même pas, Pyongyang aura donné une démonstration impressionnante et créé l’impression – pour longtemps ? – que la défense antimissile américaine n’est qu’un tigre de papier. Oui… mais à se baser sur les informations en source ouverte, ce n’est pas l’issue qui paraît la plus probable.
Sachant que la dissuasion est avant tout un effet psychologique qui se construit dans la tête de l’adversaire potentiel, il est surprenant que Kim Jong Un accepte de prendre un tel risque. Faut-il imaginer que le jeune dictateur ait un caractère téméraire ?
Il y a de quoi s’interroger : les responsables du programme balistique nord-coréen n’auraient-ils pas « bourré le mou » du jeune dictateur, en lui décrivant un système plus avancé et imparable qu’il ne l’est en réalité ? Si c’est le cas, ce serait très risqué pour les responsables concernés, Kim Jong Un n’ayant pas le profil d’un dirigeant qui pardonne facilement – l’enjeu pour les fautifs serait au minimum le camp de rééducation… Toutefois, ce ne serait pas sans précédent, les dictateurs ayant tendance à créer autour d’eux une bulle d’admirateurs et de sycophantes assurant leur position non seulement en l’assurant de son génie, mais encore en ne lui donnant que les bonnes nouvelles.
Ou bien savent-ils quelque chose sur les performances de leur missile que les autres ne savent pas, et qui resterait confidentiel ?
Enjeu pour les Etats-Unis – pourront-ils refuser le défi ?
Ce qui semble clair, c’est que maintenant que le défi a été lancé, aussi publiquement et aussi solennellement que possible, il serait difficile aux Etats-Unis de le refuser, c’est-à-dire de ne pas faire tout leur possible pour intercepter les missiles.
« Retrouvons-nous sur le pré demain à six heures, Monsieur ! »
On pourrait imaginer à première vue que les Etats-Unis se contentent de regarder les missiles s’écraser en mer pas loin de chez eux dans les eaux internationales. Seulement voilà, ils ont des alliés à rassurer, un système antimissile qui est directement mis au défi, donc ils n’ont le le choix qu’entre tenter l’interception – et courir le risque semble-t-il assez petit de tout rater et d’être ridicule – et ne pas la tenter – courant ainsi un risque majeur de convaincre le monde entier qu’ils n’ont pas eux-mêmes confiance dans les performances de la défense antimissile dont ils font tant de cas, et qu’ils proposent si bruyamment à leurs alliés dans la région (Corée du Sud, Japon) comme dans le reste du monde. Ce n’est vraiment pas le message que Washington souhaite envoyer.
D’autre part, le président américain a pour le moins l’orgueil chatouilleux, et il est engagé dans une compétition de provocations verbales avec son homologue nord-coréen. Il lui serait très difficile de refuser de participer à cette sorte d’explication et de duel technologique – missile contre missile, pas de vie humaine en jeu – que tente de lui imposer Kim Jong Un, alors même qu’il vante si volontiers la puissance américaine et la qualité de ses armes. Il semble très probable qu’il choisira d’utiliser les THAAD… sauf si ses généraux lui expliquaient qu’en fait ils seraient dépassés, mais rien dans les informations en source ouverte ne permet de le penser.
Il est surprenant que Kim Jong Un lance un tel défi avec son programme de missiles là où il en est. Mais le vin est maintenant tiré, il faut le boire. Pour la Corée du Nord, comme pour les Etats-Unis.
Ce sera le tout premier test en vraie grandeur du résultat de plus de trente ans de R&D américaine en défense antibalistique !
La réaction américaine est pratiquement obligée…
1 – L’interception d’un missile balistique est pensable lors de ses trois phases de vol :
Agir lors de la phase ascensionnelle pose beaucoup de problèmes intrinsèques – le temps de réaction, la possibilité même de rallier à temps l’endroit adéquat – il y a lieu de douter que les Etats-Unis en aient vraiment la capacité
Le seul système capable de tenter une interception à mi-course est le GBI, lequel est basé en Alaska et en Californie, ce qui ne convient évidemment pas au cas d’un missile visant Guam depuis la Corée du Nord
Mais quant à l’interception en phase terminale – lorsque le missile se rapproche de sa cible depuis l’espace – les Etats-Unis disposent de deux systèmes supposés en être capables : le SM-3 basé sur croiseur Aegis et surtout le THAAD.
Or la base militaire de Guam a déjà son propre système THAAD
« Its components include what the Army calls the « world’s most-advanced mobile radar, » three truck-mounted launchers for the ballistic missile interceptors, a cooling and fire control system, as well as a 1.3-megawatt power generator. »
Trois lanceurs, cela représente un total de 24 missiles, ce qui est bien assez pour lancer 2 intercepteurs sur chacun des quatre Hwasong-12 nord-coréens, afin de maximiser la probabilité d’interception.
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omagazineparis · 7 months
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Cinq choses à savoir sur le nouvel an chinois
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Bonne année ! Adieu les terribles jours de 2020 placés sous le signe du rat de métal. En 2021, place au Buffle de métal. Ce vendredi 12 février la communauté asiatique fête la nouvelle année. Découvrez cinq choses à savoir sur le Nouvel An chinois, évènement devenu mondial. Chaque année associe un animal du bestiaire chinois à un élément Soixante typologies sont possibles. Cette année met à l’honneur le buffle associé à l’élément métal. Pour comprendre, il suffit premièrement d’avoir en tête l’enchaînement des animaux du bestaire chinois : rat, buffle, tigre, lapin, dragon, serpent, cheval, chèvre, mouton, singe, coq, chien et cochon. La légende veut que l'ordre ait été établi par le résultat d'une course organisée par l’empereur de jade, le chef des dieux. Épreuve à la suite de laquelle l'empereur a décidé que les douze premiers arrivés représenteraient les années de naissance de ses sujets. Ainsi naquit l'organisation du calendrier chinois. https://twitter.com/ParisJeTaime/status/1360151763630903297 De son côté, la théorie des cinq éléments a vu le jour à la fin du IVe siècle avant notre ère. Ces cinq éléments les "WU Xing" (cinq mouvements) , à savoir, l'eau, le feu, le bois, le métal et la terre seraient les cinq processus fondamentaux présents dans l'univers. Par exemple, l'eau induit un processus d'écoulement, le bois de construction et le feu de combustion. Dans le calendrier chinois, chacun des éléments régit deux années consécutives. En tout, ils forment un cycle de dix ans qui s'associe à celui du zodiaque, qui lui dure douze. C'est pour cela qu'un même animal peut être associé à différents éléments selon les années. Le jour du Nouvel An chinois n'est jamais le même Pas de 1er janvier pour célébrer la nouvelle année. La tradition chinoise veut l'utilisation d'un calendrier luni-solaire. En d'autres termes, le premier jour de l'année coïncide avec une nouvelle lune. La deuxième depuis le solstice d’hiver, juste avant la phase lunaire du solstice de printemps. Toute une organisation ! Le jour même n'est pas établi, mais la période si. Le Nouvel An chinois est systématiquement fêté entre le 21 janvier et le 19 février. Pas de doute là-dessus. À savoir : Bien qu'en Chine le calendrier soit luni-solaire, il se réfère au calendrier grégorien (le nôtre). Par conséquent, une année se divise en douze mois mais ne compte que 354 ou 355 jours. Le Nouvel An chinois, synonyme de congés en Asie Chaque année depuis l'an 2000, le gouvernement chinois accorde deux semaines de congés à ses citoyens, surnommées les "semaines d'or". Il est question d'accorder trois jours fériés autour d'un week-end. De façon à ce que chacun dispose d'une semaine. https://twitter.com/AmbassadeChine/status/1360198419998982152 Justement, l'une d'elle est prévue pour célébrer le Nouvel An chinois. Cette année, le conseil d'État de Chine a mobilisé la semaine du 11 février au mercredi 17 février. En plus de cela, sont requis des jours de récupération du 7 au 20 février. Il s'agit de la seule période de l'année, où les usines et les centres de production peuvent fermer pendant plusieurs semaines. C'est dire ô combien cet évènement importe. La plus importante période migratoire S'ils disposent de seulement deux semaines de congés par an, les Chinois comptent bien en profiter. L'agence de presse Xinhua rapporte que le ministère des Transports chinois s’attend à enregistrer environ 1,15 milliard de voyages (train, voiture ou avion) sur cette période de "chunyun". C'est le nom donné à cette période touristique printanière de 40 jours. Un Nouvel An entre superstitions et traditions Saviez-vous que le soir du Nouvel An il vaut mieux ouvrir ses portes et ses fenêtres, jusqu'à minuit, pour laisser l'année précédente s'en aller ? Ce n'est pas tout. N'hésitez pas à régler vos dettes, ainsi vous pourrez espérer une année prospère. Autrefois, certains éclataient des pétards dans le but de faire fuir les animaux maléfiques. Plus fort était le bruit, meilleure l'année s'annonçait. Depuis 2018, cette tradition est interdite dans plus de 400 villes pour limiter la pollution dans l'un des pays les plus atteints par ce fléau. Les enveloppes rouges envoyées au Nouvel An chinois Sans oublier les "hongbao". Vous avez peut-être entendu parler de ces petites enveloppes rouges échangées à l’occasion du Nouvel An chinois. Sans surprise, elles sont censées contenir de l'argent puisqu'il s'agit d'un évènement prônant prospérité. D'ailleurs, ne balayez pas ce soir-là ! Cette action pourrait faire fuir la bonne fortune. Plus les années passent, plus les amateurs de cette tradition utilisent une plateforme en ligne pour procéder à l'envoi. En 2017, 46 milliards d'enveloppes rouges ont été envoyées par We chat. Voilà, le Nouvel An chinois n'a plus de secret pour vous. "新年快乐" (bonne année) ! À lire également : Les cinq lieux incontournables où aller en voyage Read the full article
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